RMC n’a pas gardé en tête le cheminement qui l’a menée à refaire vivre, 14 ans plus tard, à partir d’une pierre ramassée en Charente, le personnage de Lady Bird, la petite danseuse égyptienne de Nouba qui l’avait fait rêver en 2009 lors d’un séjour à NYC. Ces chemins, ténus, sont inconscients et s’effacent quand le processus créatif se met en marche.
Le lien ne se rétablit que des semaines, voire des mois, plus tard, quand vient le moment de donner un nom aux œuvres, mais les motivations en resteront mystérieuses.
